Le Bridgeur se développe depuis plus de 60 ans sur deux métiers en relation avec le bridge : la production et la vente de produits de bridge et l'édition de deux revues de bridge.
Leader dans son domaine et appréciée par des bridgeurs de tout niveau, la société a su également se diversifier au fil des années pour proposer un large choix de jeux de l'esprit allant du scrabble aux échecs, en passant par le backgammon, le poker ou encore les puzzles.

C’est en 1958 que la société Le Bridgeur voit le jour. Aujourd'hui, nous proposons aux passionnés et aux initiés de découvrir ce jeu formidable grâce à :
- Un site internet lebridgeur.com : une plateforme spécialisée bridge et jeu où nos clients passionnés et nos partenaires professionnels peuvent s’informer, jouer, partager et aussi acheter.
- Une boutique Le Bridgeur historique : située à Paris près de la place de l’Opéra, tout passionné de jeu pourra y trouver son bonheur.
- Deux revues, BeBRIDGE et Bridgerama, pour suivre toute l’actualité du bridge tout en s’amusant et en progressant.
Le Bridgeur, c’est aussi une équipe soudée, qui depuis de nombreuses années n’a qu’un seul objectif : faire connaître et partager le bridge au plus grand nombre. Vous connaissez sûrement Maïté, aux commandes de la vente par correspondance, qui vous offre qualité d’écoute et accompagnement.

Les dates clés

1959 : Création du Bridgeur par Jacques Bauche
1978 : Rachat de la société par Hubert de l’Epine et Jean Paul Meyer qui prend la Direction Générale
1988 : Les actionnaires Jean-Louis Descours (président du groupe André) et José Damiani rejoignent l'aventure du Bridgeur
1996 : Le groupe HM Éditions rachète Le Bridgeur
2011 : Karine Meyer-Naudan prend la Direction Générale de la société
2019 : Rachat par le groupe international 52 Entertainment, leader du Bridge en ligne
Forte de partenariats historiques et de clients passionnés, la société Le Bridgeur souhaite de tout cœur faire rayonner le bridge en France et à l’international.
Aidez-nous à réussir cette mission en rejoignant dès maintenant la #bridgefamily.

Première partie : les années Bauche


Le 1er octobre 1959, Jacques Bauche se jette à l’eau : au prix de 70 anciens francs, le Bridgeur, publication bimensuelle consacrée au bridge, est proposée dans les kiosques. Dans le premier comité de rédaction, outre la figure tutélaire de Pierre Albarran qui va malheureusement bientôt disparaître, figurent Jean Lévêque, l’arbitre, Irénée Bajos de Hérédia et Pierre Schaeffer. C’est le début d’une aventure d’abord solitaire, puis adossée pendant plus de vingt ans à la Fédération Française de Bridge, qui va vous conduire à feuilleter le numéro d’aujourd’hui.
Dès les années 1960, l’actualité donne à la revue du grain à moudre. Robert de Nexon a créé les Olympiades en même temps que la fédération mondiale, la France remporte le premier trophée. Deux ans plus tard, Jaïs-Trézel confirment en remportant le premier championnat du monde par paires à Cannes. L’année suivante éclate à Buenos Aires le scandale Reese-Schapiro qui fournit à Jean-Paul Meyer la matière d’un de ses premiers « Franchement vôtre »…
La fin des années 1960 constitue la charnière entre le bridge de l’après-guerre et le bridge moderne. Bien vite, le Bridgeur se place résolument du côté de la modernité. À côté des rédacteurs prestigieux comme José le Dentu, qui assurera le difficile compte rendu du championnat du monde tourmenté des Bermudes en 1975 et Bertrand Romanet, apparaît une nouvelle génération de journalistes, issue de la compétition comme Jean-Marc Roudinesco et Pierre Schemeil, mais aussi de l’enseignement : Gérard Desrousseaux et Robert Berthe en sont les plus beaux fleurons.
Jacques Bauche, plus tout jeune, décide de passer la main et c’est d’abord son fils Patrice qui prend la responsabilité de la rédaction, avant de se consacrer à sa passion des voyages. En 1978, le destin de la revue du Bridgeur s’infléchit : Michel Bongrand, José Damiani et Hubert de l’Epine, le nouveau propriétaire du journal, s’accordent sur un projet qui prévoit la fusion du magazine avec la revue fédérale. Pendant plus de vingt-cinq ans, le Bridgeur et la Revue Française de Bridge ne feront qu’un.

Deuxième partie : les années Jean-Paul Meyer

Présent dans les colonnes du Bridgeur depuis 1963, Jean-Paul Meyer va en assurer la rédaction en chef, en même temps que la direction de la société, de 1978 à 2001. Autant dire que personne n’a plus imprimé sa marque au magazine que cet ancien Directeur Général adjoint de la STEF qui décida d’abandonner une carrière toute tracée dans l’industrie pour l’aventure de la presse. Son goût de la compétition internationale va trouver à s’exprimer : cette grande vingtaine d’années correspond à la période des plus beaux succès du bridge français.
Tout commence en 1980, quand Chemla-Mari, Lebel-Perron et Soulet-Szwarc, (capitaine Pierre Schemeil) gagnent les Olympiades à Valkenburg. En 1982, ce sont Lebel-Soulet et Faigenbaum-Pilon qui s’adjugent la Rosenblum à Biarritz. L’année suivante, aux championnats d’Europe de Wiesbaden, nos deux équipes, open et dames, remportent le titre. Profitant de cette vague favorable, le bridge français se développe. Forte de 13.000 membres en 1973, la FFB, sous les présidences successives de Michel Bongrand, José Damiani et Georges Chevalier, se targue de 45.000 licenciés dix ans plus tard.
Le soufflé retombe un peu, malgré les doubles médailles de Seattle en 1984 ou les titres européens féminins en 1985 et 1987, à Salsomaggiore puis Brighton. Hubert de l’Épine s’essouffle lui aussi. En 1988, il décide de passer la main et c’est un groupe d’actionnaires, parmi lesquels Jean-Louis Descours (président du groupe André) et José Damiani, qui reprend la société.
Entre 1996 et 2019 la société Le Bridgeur appartient au groupe HM Éditions, groupe français familial indépendant dont l’activité principale est l’édition et la communication.

Troisième partie : les années 52 Entertainment

En mai 2019, Le Bridgeur rejoint le groupe d’investissement 52 Entertainment, leader du bridge en ligne, qui connaît une croissance rapide et bénéficie d'une excellente réputation parmi les acteurs du bridge.
L’acquisition récente de Bridge Baron, les accords exclusifs avec plus de 30 fédérations nationales de bridge et la Fédération mondiale de bridge (WBF) affiliée au CIO (Comité international olympique) font de 52 Entertainment un des groupes les plus attractifs dans le divertissement numérique.
52 Entertainment possède plusieurs cordes à son arc : jeux et tournois en ligne, solutions "clé en main" pour les clubs de bridge et maintenant Bridge-Eshop, la boutique en ligne de matériel et magazine de bridge.
La vision du groupe est claire : créer un écosystème dédié au jeu et devenir le leader mondial des jeux d'esprit et de stratégie. Le groupe souhaite aussi étendre son modèle vers d’autres jeux comme Spades, Mah jong, Canasta, Belote pour n'en citer que quelques-uns.
Olivier Comte a rejoint l'aventure lors de l'acquisition de BBO pour devenir CEO du Groupe. Il a contribué à créer et à façonner 52 Entertainment en tant que leader du marché mondial grâce à une croissance organique et à des acquisitions ciblées. Olivier a plus de deux décennies d'expérience dans l'industrie du divertissement numérique et du jeu en ligne en grandes et moyennes entreprises. Avant de rejoindre 52 Entertainment, Olivier était Directeur Général et Directeur du développement des affaires internationales chez Koch Media (qui fait partie du groupe Embracer). Auparavant, il était CEO d'Ankama et a passé dix ans chez Bandai Namco en tant que Directeur Général Européen et Vice-Président senior suite à l'acquisition d'Infogrames.